Quelle comédie voir au théâtre à Paris ?


C’est drôle, c’est gros, c’est spectaculaire. Avec Florent Peyre en tête d’affiche, un orchestre live, des décors XXL et la mise en scène survitaminée d’Alexis Michalik, cette adaptation de Mel Brooks envoie tout valser. Oui, certains clichés datent un peu. Mais l’énergie, la folie, le rythme effréné et le sens du divertissement sont bien là. Une comédie musicale à l’ancienne, dans ce qu’elle a de plus réjouissant.
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Pas un mot. Et pourtant, tout passe. Les gestes, les regards, les explosions burlesques, la poésie déglinguée. Dans cet univers en chantier permanent, Pierre Guillois orchestre un chaos parfaitement maîtrisé. On rit de bon cœur, quel que soit son âge, et on ressort avec les zygomatiques en vrac. Une comédie visuelle d’une précision folle, entre cartoon et chef-d’œuvre silencieux.
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De retour après son triomphe d’il y a 16 ans, cette comédie culte fait mouche dès les premières minutes. Anachronismes déjantés, avalanche de vannes, personnages hilarants… c’est un feu d’artifice d’humour au rythme infernal. Pas besoin d’avoir fait Histoire au bac pour en ressortir plié de rire.
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Sébastien Castro frappe encore fort avec une comédie qui joue sur tous les tableaux : rythme effréné, quiproquos vertigineux et situations improbables parfaitement maîtrisées. Ce Feydeau nouvelle génération enchaîne les surprises avec une fluidité impressionnante, porté par une mise en scène au cordeau et une distribution qui jongle avec le burlesque sans jamais forcer. Un pur plaisir de théâtre, aussi malin qu’hilarant.
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PDG mégalo, collègues au bout du rouleau, langage corporate à gogo… Cette comédie de bureau pousse les curseurs à fond et ça fonctionne. Chaque personnage a sa folie, chaque scène son lot de gags, et l’ensemble déploie une énergie communicative. Ça monte, ça frémit, et puis ça explose. Un vrai plaisir de voir le chaos s’installer – et le rire prendre toute la place.
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Ils montent dans une voiture, on monte avec eux. Et très vite, on se laisse embarquer. Les vannes s’enchaînent, les comédiens s’amusent, le texte prend de l’ampleur et le spectacle décolle. Jusqu’à ce que tout parte un peu en vrille, dans une énergie joyeuse et communicative. Une comédie pleine de surprises, où on rit… beaucoup, et ensemble.
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Des zombies, une boîte mystérieuse, un pique-nique sur la plage… Vous ne verrez rien venir. Fin fin et fin déborde d’inventivité, d’humour absurde et d’émotions sincères. Un trio au sommet qui transforme le chaos en art et la fin du monde en terrain de jeu délirant.
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Qui aurait cru qu’un simple tas de cartons pouvait déclencher un tel délire ? Avec une inventivité délirante et un sens du burlesque irrésistible, Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan transforment une histoire rocambolesque en une machine à rire implacable. Rien ne leur échappe : tout devient prétexte à un gag, une surprise, une trouvaille visuelle géniale. Un spectacle d’une absurdité maîtrisée qui prouve que le comique n’a besoin de rien… sauf de génie.
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Une heure et demie de fous rires incontrôlables, de punchlines millimétrées et d’idées qui fusent dans un tourbillon irrésistible. Tout est parfait : le rythme, l’écriture, le jeu des comédiens qui s’accordent à la perfection. Chaque scène semble atteindre un sommet… avant d’être surpassée par la suivante. On rit, on suffoque, on en redemande. Un pur concentré de génie comique.
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Cynique, mordant, terriblement bien écrit : ce spectacle ose tout, sans jamais être gratuit. Entre punchlines ciselées, construction habile et une mise en scène aussi minimaliste qu’inventive, chaque scène trouve le juste équilibre entre comédie grinçante et narration maligne. Résultat ? Sur scène, tout va mal. Mais dans la salle, tout va pour le mieux : on rit, parfois malgré soi, et c’est délicieusement irrévérencieux.
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